Il pue. C’est la première chose qu’elle sent !
Quelaag ne dit rien. Son torse nu brille dans la lumière jaune, ses cheveux rouges collent à sa nuque, sa bouche est fermée. Sous elle, la bête palpite, suinte, respire. Lui, il bande comme un porc, la queue bien droite, prête à cracher. Elle tend la main. Ce ne sera pas long.
Elle le prend comme on chope un bout de viande trop gras : la peau est chaude, poisseuse, presque tiède de sueur. Elle le branle sans rythme, sans douceur, juste assez pour le faire réagir. Son visage reste impassible. L’odeur monte, plus forte, plus rance, et elle sait que ça vient. Alors elle baisse la tête, sa langue effleure le gland, juste pour le goût — amer, métallique, salé, dégueulasse.
Elle le lèche, pas pour lui : pour s'assurer de sa saleté. Puis elle l’enfonce, doucement, jusqu’à mi-course.
Elle le garde en bouche quelques secondes, puis ressort lentement, un filet de salive mêlé de pré-sperme pend entre ses lèvres. Elle le branle encore. Plus vite.
Elle le regarde, sans expression. Il est prêt. Elle lève un peu le menton. Et le jet part. Fort, épais. Le sperme lui claque la lèvre, lui gicle en plein visage, puis sur le nez. Elle ferme les yeux. Deux autres jets suivent, plus lourds, s’écrasent sur sa gorge, ses seins, coulent sur sa peau nue, se mêlent à la sueur et à la chaleur de la bête en dessous.
Elle reste là, le visage éclaboussé, la poitrine maculée, les lèvres poisseuses.Le sexe est fini. Elle, non.
He stinks. It's the first thing she's smelled!
Quelaag says nothing. Her naked torso glistens in the yellow light, her red hair sticks to the nape of her neck, her mouth is closed. Beneath her, the beast pulsates, oozes, breathes. He's hard as a pig, tail erect, ready to spit. She holds out her hand. This won't take long.
She takes him like a piece of meat that's too fat: the skin is hot, sticky, almost lukewarm with sweat. She jerks him off without rhythm, without gentleness, just enough to make him react. His face remains impassive. The smell rises, stronger, rancid, and she knows it's coming. So she lowers her head, her tongue grazes the glans, just for the taste - bitter, metallic, salty, disgusting.
She licks it, not for him: to make sure it's dirty. Then she pushes it in, gently, halfway in.
She holds it in her mouth for a few seconds, then slowly pulls it out, a trickle of saliva mixed with pre-sperm hanging between her lips. She jerks him off again. Faster.
She looks at him, expressionless. He's ready. She lifts her chin a little. And the jet starts. Strong, thick. Semen slaps her lip, squirts into her face, then onto her nose. She closes her eyes. Two more jets follow, heavier, crashing against her throat, her breasts, dripping onto her bare skin, mingling with the sweat and heat of the beast below.
The sex is over. She isn't.
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