Ranni se tenait droite, vêtue de ses brumes et de ses secrets. Quatre hommes l'entouraient, nus, dressés, silencieux. Dans chacune de ses quatre mains, elle tenait un sexe vivant, palpitant, qu’elle caressait avec une précision lente, presque cérémonielle.
Elle souriait. Non pas de désir, mais d’étonnement amusé. Elle n’aurait jamais imaginé que, même sous cette forme de poupée froide et lointaine, on lui demande encore de provoquer l’élan le plus terrestre. Et pourtant, elle le faisait. Calme. Présente. Quatre va-et-vient, quatre rythmes superposés.
Et puis ils vinrent. Tous. Leurs corps tressaillirent et l’éjaculation surgit de chaque verge, éclaboussant son visage, son cou, le haut de sa robe. Ranni ne détourna ni la tête, ni le regard. Elle reçut tout, dans une immobilité étrange, les gouttes chaudes coulant lentement sur la froideur de ses traits célestes.
Ranni stood tall, wrapped in mists and mystery. Four men surrounded her — nude, silent, hard. In each of her four hands, she held a living cock, pulsing, which she stroked with slow, precise, almost ceremonial care.
She smiled. Not with lust, but with quiet surprise. She had never expected that even in this distant doll form, such earthly requests would be made. And yet, she answered them — calmly, fully. Four strokes. Four intertwined rhythms.
And then, they came. All of them. Their bodies trembled, and thick spurts erupted from each cock — striking her face, her neck, the front of her gown. Ranni didn’t flinch. Didn’t blink. She accepted it all, perfectly still, the warmth sliding slowly down her cold, celestial skin.