Elle avait été battue. Malenia, lame de Miquella, avait plié le genou, non par faiblesse, mais par épuisement total de son art. Et comme le voulait la vieille loi des guerriers, elle offrait quelque chose à son vainqueur : non pas son corps, mais un geste de respect muet.
L’homme était nu, debout devant elle, membre dressé, une main posée derrière son casque. Sa bouche s’ouvrit. Sa langue effleura le sexe tendu. Elle le prit en bouche lentement, avec la solennité d’un serment ancien. Sa langue suivait les contours, ses lèvres se refermaient avec gravité.
L’éjaculation arriva vite. Le sperme jaillit dans sa bouche, l’emplit, et elle l’avala sans un mot, le torse droit, les yeux toujours clos sous l’effet de la pourriture. Rien dans son geste n’était souillé. Tout dans sa posture parlait encore d’honneur.
She had been defeated. Malenia, Blade of Miquella, had knelt — not from weakness, but from the full exhaustion of her craft. And as the old warrior’s law dictated, she gave something to her victor: not her body, but a wordless sign of respect.
The man stood naked before her, cock erect, one hand resting behind her helm. Her mouth opened. Her tongue brushed the shaft. She took him into her mouth slowly, with the solemnity of an ancient oath. Her tongue moved deliberately, her lips closing with weight.
The ejaculation came swiftly. He burst into her mouth, filling it, and she swallowed in silence, shoulders square, her eyes still shut — sealed forever by rot. Nothing in her act was disgraceful. Everything in her still spoke of honor.